Avant l'apparition de l'Ekranoplan
à Chkalovsk près de Gorky
R E Alekseyev, reprenant les travaux de Ivan Petrovich Kulibina d'un bateau volant sur la Volga, travaillait sur un ekranoplan baptisé Victoire 357 depuis 1941
Jusqu'à la fin de la guerre, Alekseyev et son groupe ne parvinrent pas à créer un bateau/avion de combat à grande vitesse, même si les moteurs diesel envisagés développaient une puissance énorme, mais les résultats des essais de la maquette furent si impressionnants que le designer et trois de ses collègues conçoivent à partir de 1957 une machine à effet de sol « Ekranoplan » pour 30 places, en collaboration avec Kuznetsov qui a fait le NK 12 du Tu 95
Alekseyev a su maîtriser les profils trans cavitants et super cavitants autant que la partie aérienne de cette étrange machine : la première étant le SM-1 ( CM 1 en russe ) qu’il pilote lui-même en 1961 depuis le vaste plan d’eau de Khimki. Il s’est défait du principe des « trois points » de contact
Mais, les informations sur le Victory 357 sont bien rares
à Chkalovsk près de Gorky
R E Alekseyev, reprenant les travaux de Ivan Petrovich Kulibina d'un bateau volant sur la Volga, travaillait sur un ekranoplan baptisé Victoire 357 depuis 1941
Jusqu'à la fin de la guerre, Alekseyev et son groupe ne parvinrent pas à créer un bateau/avion de combat à grande vitesse, même si les moteurs diesel envisagés développaient une puissance énorme, mais les résultats des essais de la maquette furent si impressionnants que le designer et trois de ses collègues conçoivent à partir de 1957 une machine à effet de sol « Ekranoplan » pour 30 places, en collaboration avec Kuznetsov qui a fait le NK 12 du Tu 95
Alekseyev a su maîtriser les profils trans cavitants et super cavitants autant que la partie aérienne de cette étrange machine : la première étant le SM-1 ( CM 1 en russe ) qu’il pilote lui-même en 1961 depuis le vaste plan d’eau de Khimki. Il s’est défait du principe des « trois points » de contact
Mais, les informations sur le Victory 357 sont bien rares