Ce fil pour la navette de Sierra Nevada
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dream_Chaser
https://www.aerobuzz.fr/breves-industrie/le-dream-chaser-senvolera-pour-liss-en-2020/
qui d'ailleurs pourrait être lancée par Ariane 6,
pour le compte de la Nasa (ravitailler la station spatiale internationale)
(bien que DT risque de s'opposer à un lanceur non états unien)
mais aussi pour l'ESA
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/dream-chaser-ariane-6-lancera-t-elle-mini-navette-dream-chaser-66745/
... si Ariane 6 ne lance pas le Dream Chaser pour le compte de la Nasa, elle pourra très bien le faire pour l'Agence spatiale européenne (ESA) !
En 2016, Sierra Nevada Corporation (SNC) a en effet signé un protocole d'entente avec l'ESA et les sociétés européennes Telespazio (Italie) et OHB-System AG (Allemagne). Le but ? Démontrer la faisabilité technique et la viabilité commerciale, pour les secteurs public et privé, d'utiliser une version européenne du Dream Chaser, le DC4EU (DreamChaser for European Use). Cette version vise à fournir un accès européen à l'orbite terrestre basse qui soit indépendant, abordable et compatible avec le futur lanceur européen Ariane 6.
À la différence de la version habitée, la version cargo du Dream Chaser sera dotée d'un module pressurisé, de deux ailes pliables, de façon à tenir à l'intérieur d'une coiffe de 5 mètres de diamètre, d'un logiciel adapté à une utilisation sans pilote et, bien entendu, de capacités de transport étendues. Ainsi, ce véhicule automatique pourra transporter jusqu'à 5,5 tonnes de fret et en redescendre 1.750 kilogrammes. À la fin de ses missions, le module pressurisé sera utilisé comme poubelle et se consumera dans l'atmosphère terrestre avec jusqu'à 4,7 tonnes de charges.
En retour, en s’engageant dans un plus grand nombre de projets de coopération avec l’industrie, l’ESA trouve des opportunités inédites, et souvent intéressantes, pour faire avancer ses propres programmes et objectifs stratégiques pour explorer et utiliser l'espace
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dream_Chaser
https://www.aerobuzz.fr/breves-industrie/le-dream-chaser-senvolera-pour-liss-en-2020/
qui d'ailleurs pourrait être lancée par Ariane 6,
pour le compte de la Nasa (ravitailler la station spatiale internationale)
(bien que DT risque de s'opposer à un lanceur non états unien)
mais aussi pour l'ESA
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/dream-chaser-ariane-6-lancera-t-elle-mini-navette-dream-chaser-66745/
... si Ariane 6 ne lance pas le Dream Chaser pour le compte de la Nasa, elle pourra très bien le faire pour l'Agence spatiale européenne (ESA) !
En 2016, Sierra Nevada Corporation (SNC) a en effet signé un protocole d'entente avec l'ESA et les sociétés européennes Telespazio (Italie) et OHB-System AG (Allemagne). Le but ? Démontrer la faisabilité technique et la viabilité commerciale, pour les secteurs public et privé, d'utiliser une version européenne du Dream Chaser, le DC4EU (DreamChaser for European Use). Cette version vise à fournir un accès européen à l'orbite terrestre basse qui soit indépendant, abordable et compatible avec le futur lanceur européen Ariane 6.
À la différence de la version habitée, la version cargo du Dream Chaser sera dotée d'un module pressurisé, de deux ailes pliables, de façon à tenir à l'intérieur d'une coiffe de 5 mètres de diamètre, d'un logiciel adapté à une utilisation sans pilote et, bien entendu, de capacités de transport étendues. Ainsi, ce véhicule automatique pourra transporter jusqu'à 5,5 tonnes de fret et en redescendre 1.750 kilogrammes. À la fin de ses missions, le module pressurisé sera utilisé comme poubelle et se consumera dans l'atmosphère terrestre avec jusqu'à 4,7 tonnes de charges.
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Ces futurs partenariats commerciaux constituent un élément nouveau du programme d'exploration spatiale de l'Agence spatiale européenne (ESA). Ils ont pour but d’élargir la communauté des utilisateurs européens de l’espace, en leur permettant d’accéder à l’espace à bon compte.En retour, en s’engageant dans un plus grand nombre de projets de coopération avec l’industrie, l’ESA trouve des opportunités inédites, et souvent intéressantes, pour faire avancer ses propres programmes et objectifs stratégiques pour explorer et utiliser l'espace