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alain57 a écrit:Médiateur chez Air Canada: un précédent qui pourrait être imité

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/200906/05/01-863507-mediateur-chez-air-canada-un-precedent-qui-pourrait-etre-imite.php

La nomination par Ottawa d'un médiateur spécial chez Air Canada afin de
provoquer une entente sur le renflouement de ses régimes de retraite constitue
un précédent qui pourrait inspirer d'autres grandes entreprises aux prises avec
un tel problème financier.
la suite de l'article sous le lien....

Communiqués de presse

Air Canada lance un service sans escale Calgary-Tokyo, proposant ainsi des correspondances pratiques partout en Asie

CALGARY, le 18 nov. /CNW Telbec/ - Air Canada a annoncé aujourd'hui l'instauration d'un service sans escale entre Calgary et Tokyo, proposant ainsi des correspondances pratiques partout en Asie avec les transporteurs Star Alliance(MD).
À compter du 27 mars 2010, la Société assurera trois vols hebdomadaires à destination de l'aéroport Narita International de Tokyo, à temps pour la haute saison estivale. Afin de promouvoir sa nouvelle liaison Calgary-Tokyo, Air Canada offrira un tarif de lancement aller-retour commençant à seulement 598 $ CA, taxes et autres frais en sus. Les billets sont offerts à la vente au www.aircanada.com et par l'intermédiaire des agents de voyage.
"L'introduction de la seule liaison sans escale entre Calgary et Tokyo représente une excellente nouvelle pour nos clients qui voyagent entre l'Alberta et l'Asie, pour affaires ou par agrément, de même que pour les transitaires de fret aérien, a affirmé Ben Smith, vice-président général et chef des Affaires commerciales. Le nouveau service sans escale d'Air Canada sur Narita donnera aux Albertains un accès direct à l'une des principales villes-portes asiatiques, qui offre une correspondance pratique avec nos partenaires commerciaux Star Alliance, vers des destinations clés partout en Asie, dont Hong Kong, Manille, Séoul, Beijing, Shanghai, Singapour, Bangkok et Taipei ainsi que diverses villes au Japon. Notre horaire initial de trois vols hebdomadaires au cours de l'été 2010 constitue la première étape vers l'établissement d'un service quotidien, toute l'année.
"Air Canada a investi considérablement dans le marché de Calgary cette année, répondant ainsi stratégiquement à la forte demande. Si l'on tient compte du nouveau service sur Tokyo annoncé aujourd'hui, nous avons lancé, au cours des 10 derniers mois, 7 nouvelles liaisons desservant Calgary, dont des vols quotidiens sans escale vers San Diego (Californie), Portland (Oregon) et London (Ontario), un service saisonnier estival sur Whitehorse (Yukon) et des vols saisonniers sans escale à destination de Maui et Honolulu, à compter du début du mois de décembre", a conclu M. Smith.
"Nous sommes enchantés d'enfin offrir une liaison sans escale entre Calgary et l'Asie, a affirmé Stephan Poirier, vice-président et chef des Affaires commerciales de l'Administration de l'aéroport de Calgary (YYC).
Calgary est un moteur économique important pour l'ouest du Canada, et YYC joue un rôle important pour assurer la croissance continue de la ville au sein de l'économie mondiale. La nouvelle liaison d'Air Canada à destination de l'aéroport Narita de Tokyo permet véritablement de relier notre ville et notre région avec le monde et solidifie la position de YYC en tant que principale ville-porte internationale de l'Alberta."
"Voilà une excellente nouvelle pour l'Alberta. C'est la première fois
depuis de nombreuses années que la province a une liaison aérienne directe avec le Japon", a affirmé Cindy Ady, ministre du Tourisme, des Parcs et des
Loisirs de l'Alberta. "Il est essentiel que l'Alberta soit accessible sans escale par voie aérienne, pour que nos marchés du tourisme étranger prennent de l'expansion. Je suis convaincue que nous accueillerons plus de visiteurs japonais en Alberta l'an prochain."
En plus de permettre des correspondances efficaces à Narita vers des villes partout en Asie avec les partenaires Star Alliance d'Air Canada, ANA, Asiana, THAI et United Airlines, l'horaire des vols Calgary-Tokyo est établi de façon à offrir des correspondances pratiques au départ et à destination des collectivités desservies par Air Canada partout en Alberta et dans l'ouest du Canada.
Les vols Calgary-Tokyo seront exploités les mardi, jeudi et samedi au départ de Calgary à 12 h 20, arrivant à Narita le lendemain à 14 h. Les vols partiront de Narita les mercredi, vendredi et dimanche à 16 h et arriveront à Calgary le jour même à 10 h 45.
Le nouveau service sans escale d'Air Canada sera assurée par des 767-300 ER de Boeing récemment réaménagés. Ces appareils de 211 places proposent le choix entre la classe économique et le service Super Affaires(MD), qui comprend 24 suites dotées de fauteuils-lits entièrement inclinables. Pour faire une visite virtuelle de nos cabines ou en savoir davantage sur les nouvelles prestations d'Air Canada, notamment sur le système de divertissements individuel à même le dossier à chaque place, veuillez vous rendre au http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/onboard/cabincomfort.html.
La nouvelle liaison Calgary-Tokyo d'Air Canada s'ajoute aux vols quotidiens sans escale vers Tokyo, à partir de Vancouver et de Toronto. Cet été, le transporteur offrira jusqu'à 17 vols hebdomadaires entre le Canada et l'aéroport international Narita de Tokyo.

CSeries: Air Canada ne prend pas de décision

(Montréal) Air Canada demeure hésitante envers les prochains avions CSeries du montréalais Bombardier, malgré la promesse de bonnes performances d'exploitation.

Le transporteur veut maintenant attendre les projets de modernisation d'Airbus et de Boeing avant de se commettre sur le remplacement éventuel de ses avions moyen-courriers d'environ 130 passagers.
«Nous ne prendrons pas de décision tant que nous n'aurons pas examiné toutes les propositions sur le marché. Et pour le moment, nous n'avons pas encore entendu la teneur des projets d'Airbus et de Boeing», a indiqué le président et chef de la direction d'Air Canada, Calin Rovinescu, en marge d'une conférence sur le transport aérien, hier à Montréal.

Selon lui, il pourrait s'écouler «jusqu'à 12 mois» avant qu'Air Canada décide de peaufiner ses plans de renouvellement de la partie de son parc aérien qui comprend 86 avions à allée simple de types Airbus 319, 320 et 321.
Entre-temps, le transporteur espère plus d'informations sur les plans de modernisation chez Airbus en particulier afin d'évaluer s'il devra se préparer à changer de modèle d'avions, ce qui pourrait avantager Bombardier.
«Les avions CSeries s'annoncent comme un très bon produit et nous continuons d'en suivre le développement. Cependant, nous voulons examiner toutes les propositions avant de prendre une décision, pour éviter de la regretter par la suite», a insisté le président d'Air Canada lors d'un point de presse, après son discours devant des délégués de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).
Pour le moment, les projets attendus chez Airbus et son concurrent Boeing concernent surtout la motorisation de leurs avions à allée simple, ou «narrow bodies» dans le jargon aérien.
Avec de nouveaux moteurs plus efficaces, les petits biréactés d'Airbus et leur principal concurrent, le Boeing 737, pourraient demeurer un choix concurrentiel pour les transporteurs, avec l'avantage de moindres coûts de formation d'équipage.
Avec sa CSeries, Bombardier propose un nouvel avion conçu spécifiquement pour le marché des vols de 110 à 150 passagers, au lieu d'un avion adapté d'un modèle plus petit ou plus gros.
Bombardier promet aussi des avions qui, grâce à une nouvelle génération de moteurs, seront plus efficaces d'au moins 15% en coûts d'exploitation par rapport aux avions existants.
«L'achat d'avions est complexe et coûteux pour les transporteurs. Nous comprenons bien leur dilemme d'autant que le contexte économique demeure difficile», a commenté John Arnone, porte-parole de la division des avions commerciaux chez Bombardier Aéronautique, après avoir été informé des propos du président d'Air Canada.
«Cela dit, nous sommes convaincus que la CSeries sera une proposition de très grande valeur dans l'industrie, a poursuivi M. Arnone.
«Nous avons 90 commandes fermes à date et 90 options auprès de trois clients, et nous sommes en discussions avancées avec plusieurs autres clients.»
Le premier vol d'un avion CSeries à partir de l'usine de Bombardier à Mirabel est prévu dans deux ans, à la fin de 2012. L'entrée en service commercial de la version de 110 passagers est prévue un an plus tard. La version de 130 passagers devrait suivre en 2014.
Du côté d'Airbus et de Boeing, les projets de nouvelle motorisation pourraient prendre «au moins cinq ans» à se matérialiser, selon Michael Boyd, analyste en aéronautique basé au Colorado.
Même dans les meilleurs cas, les gains d'efficacité pour les coûts d'exploitation seraient limités «entre 5 et 10% au gros maximum», a indiqué hier M. Boyd. C'est pourquoi il s'attend au succès de la CSeries malgré la timidité des commandes initiales.
En contrepartie, avertit pour sa part Richard Aboulafia, analyste en aviation chez Teal Group en Virginie, Airbus et Boeing pourraient embêter Bombardier en se montrant «très agressifs» en matière de prix de leurs avions modernisés.
«C'est sans doute ce que veut attendre de voir Air Canada, selon M. Aboulafia. Airbus et Boeing peuvent chacun produire des centaines d'avions à allée simple chaque année. D'où des économies d'échelle qui leur permet d'offrir des rabais aux transporteurs à un niveau inabordable pour Bombardier.»

The airline, for example, says it might gradually shift as many as 30 Airbus A319s and 20 Boeing 767s from its mainline operations to a new low-cost carrier subsidiary, which could start service next year. Many of those aircraft are coming off lease in the next 24 to 36 months, CFO Michael Rousseau says.

The low-cost carrier, which Air Canada has discussed previously, would be used to maintain or grow the airline’s service in leisure-heavy markets that the mainline carrier still serves, to restore service in leisure markets it was forced to abandon because of competition and its higher costs, and to create new markets. That is likely to include service to places such as Las Vegas, Florida, Mexico and the Caribbean, as well as some transatlantic routes, Chief Commercial Officer Ben Smith says.

The 20 767s would have been returned to lessors in coming years as the airline receives its 37 new Boeing 787 aircraft, so shifting them to the low-cost carrier will not necessitate any new orders for the mainline, the airline’s leadership says. But moving the A319s might.

Air Canada just started an internal review on how to proceed with a narrowbody replacement program to make its fleet more efficient, Rousseau says, and a shift of the A319 would mean reaching a deal for deliveries that start before the end of the decade of aircraft with similar seating capacity. The key question, Rousseau says, is how many narrowbody aircraft the airline needs to order.

The airline currently has 38 A319s in its 201-aircraft fleet and 30 767s.

It also has 45 Embraer 190 regional jets and 15 Embraer 175s, all of which Air Canada owns, but they could become a fleet restructuring casualty.

“They are not an optimal aircraft for our fleet,” says Calin Rovinescu, Air Canada’s president and CEO. Although he describes them as good aircraft, he says the airline is considering whether to get rid of them. All or some of the 175s could end up at regional carriers that operate flights for Air Canada, but the 190s would be too big for that under the scope clause provisions in the pilot contract and would just exit the fleet entirely, he says.