Porter Airlines PD! POE!

La clé du succès, si l'on en croit la direction de Porter Airlines, c'est un service de haute qualité associé à des prix « low cost », et surtout une étroite proximité avec la ville de Toronto. Ainsi, avec des tarifs sensiblement équivalents à ceux d'Air Canada au départ de l'aéroport de Pearson, Porter Airlines propose pour tous ses passagers un service de lounge avec boissons gratuites au départ de Toronto, dans un terminal flambant neuf. Un terminal dont la construction a d'ailleurs été entièrement financée par la compagnie, à hauteur de 50 M$.



« Nous sommes à 2,8 km du centre-ville, et nous offrons également des systèmes de navette gratuites et une connexion vers le métro », explique Brad Cicero, porte-parole de la compagnie, qui estime que l'on peut gagner jusqu'à deux heures sur un vol aller-retour avec Porter Airlines.



Avec 172 des 202 créneaux disponibles au BBTCA (les 30 autres étant pour Air Canada), Porter Airlines ne compte pas en rester là. Devenue rentable en 2011 et 2012, la compagnie canadienne a annoncé l'an dernier son ambition de passer à la vitesse supérieure avec comme point de départ l'acquisition du biréacteur CSeries CS100 de Bombardier.

Admin a écrit:Sinon Porter va vendre son terminal à Toronto Bishop

http://www.bloomberg.com/news/2015-01-07/porter-said-to-near-sale-of-toronto-island-terminal.html?hootPostID=2ae5bd57792c9bece869892c3f3d0300

Mais continuer à être présent

Est-ce un moyen d'avoir du cash pour se payer de la croissance  ?

Au fait, l'extension de la piste va t'elle être faite ? (est-elle nécessaire au final ?)

Porter has one substantial advantage. Its service levels have given other airlines pause as rival Air Canada has in the past complimented Porter’s service offerings that include complimentary snacks and drinks, leather seats and a lounge with free Wi-Fi. It would also be seeking political support from provincial authorities keen to sell the CSeries.

As previously concluded by CAPA, with the slot constraints at Billy Bishop, Porter needs to operate higher gauge aircraft in order to maximise its commanding presence at the airport. If it opts to deploy narrowbodies elsewhere, it runs the gauntlet of injecting capacity into markets that would take some time to reach profitability. Here the funds from an airport terminal sale would come in very handy.

With roughly a year of uncertainty behind it, the prospects are that Porter’s fate will be solidified in 2015 as a decision is made about its preferred expansion from Billy Bishop. Hopefully for the airline that will be in its favour. For now, Porter has little option but to place its future in the hands of politicians, meanwhile working towards a scenario that calls for a solid Plan B should Porter’s years-long efforts to achieve its vision fail.

Philidor a écrit:

Admin a écrit:Sinon Porter va vendre son terminal à Toronto Bishop

http://www.bloomberg.com/news/2015-01-07/porter-said-to-near-sale-of-toronto-island-terminal.html?hootPostID=2ae5bd57792c9bece869892c3f3d0300

Mais continuer à être présent

Est-ce un moyen d'avoir du cash pour se payer de la croissance  ?

Au fait, l'extension de la piste va t'elle être faite ? (est-elle nécessaire au final ?)

Je suppose que le terminal vaut uniquement par ce que peuvent rapporter les boutiques (?). Si la vente intervient avant la décision sur l'extension de la piste et l'autorisation éventuelle des jets modernes, elle est à mon avis très spéculative, car le trafic de l'aéroport pourrait changer du tout au tout.

Je ne pense pas que les politiques se hâtent de décider sur une question sensible ...

Je confirme que la position du gouv`t est celle promise par le parti: nous n`ouvrirons pas l`accord tripartite concernant l`aeroport 2/2

— Marc Garneau (@MarcGarneau) 13 Novembre 2015

Porter Airlines may not be allowed to fly Bombardier Inc.’s CSeries jet out of Toronto’s downtown airport, but the airline hasn’t ruled out bringing the jet to other Canadian airports, according to CEO Robert Deluce.