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Ryanair talks with Comac a 'genuine, serious commitment

By: Dominic Perry London

Source:



Low-cost carrier Ryanair
has reiterated that its discussions with Chinese airframer Comac on the
potential development of a stretched 199-seat variant of its C919
twinjet are serious and could still yield an order for delivery in the
2018-20 timeframe.
Industry observers have been quick to brand
Ryanair's flirtation with the Chinese as little more than a means of
beating down incumbent aircraft supplier Boeing on price. The final
delivery under its current order for 189-seat 737-800s is due to take
place later this year.
However, Ryanair chief executive Michael
O'Leary insists the airline's talks with Comac represent "a genuine,
serious commitment". He believes that all carriers should welcome the
emergence of the state-owned airframer as a serious player in commercial
aviation - "a real, credible third manufacturer" in the mainline
narrowbody market - as it will serve to drive down prices.
"It's a
great deal for airlines all around the world," he says. "If, all of a
sudden, we are all buying Chinese-built aircraft then Airbus and
Boeing's pricing strategy gets holed below the waterline."
Interest in the C919 was revealed by British Airways
parent International Airlines Group at the Farnborough air show in
July, where it signed a memorandum of understanding to work with Comac
on the development of the CFM International Leap-1C-powered C919.
O'Leary says IAG's move only serves to add "credibility" to the
programme.
Any order from Ryanair, however, is contingent on Comac
agreeing to make a stretched variant of the C919. The baseline model is
due to enter service in 2016 with up to 168 seats in an all-economy
configuration.
Nonetheless, Ryanair is continuing its discussions
with Boeing over a potential new near-term order. O'Leary says price is
the main sticking point, although he has again expressed his concerns
over the design of the re-engined 737 Max, citing the weight increase over the current generation 737-800 as a particular worry.
He
adds, however: "We are in ongoing discussions with Boeing and as soon
as we can reach an agreement on price we'll place an order. It could be
the -800 or the Max, whichever they discount the most - we'd buy a dog
if it was cheap enough.
"We'd like to place an order, but only when the price is right."

http://www.flightglobal.com/news/articles/ryanair-talks-with-comac-a-genuine-serious-commitment-376057/

Actualisé à 15h30.La compagnie low-cost irlandaise
Ryanair a décidé de revenir à l'aéroport de Strasbourg-Entzheim. Elle
assurera à partir d'avril 2013 des liaisons Strasbourg-Londres/Stansted
et Strasbourg- Porto, ont indiqué ce matin les services de l'aéroport de
Strasbourg et un représentant du transporteur lors d'une conférence de
presse.

La direction de l’aéroport de Strasbourg-Entzheim
a annoncé mercredi le retour de la compagnie aérienne à bas coût
Ryanair, dix ans après son départ, avec plusieurs liaisons par semaine à
partir d’avril 2013 à destination de Londres et Porto.
«Le leader du vol +low cost+ proposera, dès le printemps prochain, trois rotations hebdomadaires Strasbourg-Londres/Stansted
(les mardis, jeudis et samedis) et deux autres vers Porto (mardis et
samedis)», a indiqué la direction de l’aéroport alsacien dans un
communiqué.
«Des billets seront mis en vente sur Internet dès
demain (jeudi) à partir de 35€ pour Porto et Londres-Stansted», a
confirmé à l’AFP le responsable vente et marketing de Ryanair France et Belgique, Jonathan Brisy.
«On
pourra rapidement revoir à la hausse la fréquence des vols et le
nombre de destinations, en fonction du succès rencontré au démarrage»,
a-t-il précisé.
Ryanair avait quitté Strasbourg-Entzheim en septembre 2003 à la suite d’un jugement du tribunal administratif de Strasbourg annulant les subventions qui lui avait été accordées par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de la ville.
Ce
départ de la compagnie irlandaise avait provoqué une baisse de 6% sur
un an du trafic passagers de l’aéroport lors de l’année 2004.
Depuis,
l’aéroport s’est employé à diminuer les charges imposées aux
compagnies tout en modernisant ses infrastructures, selon la direction.
«On
a fait un énorme travail pour baisser les taxes aéroportuaires et les
coûts demandés aux compagnies afin d’être plus compétitif», a affirmé à
l’AFP le président du directoire de l’aéroport Strasbourg-Entzheim, Thomas Dubus.
Le maire de Strasbourg
Roland Ries et le président de la communauté urbaine Jacques Bigot
(PS) ont salué dans un communiqué «une excellente nouvelle pour (le)
territoire», qui enrichira «de manière opportune le portefeuille des
liaisons européennes au départ de Strasbourg».
Les
deux élus ont par ailleurs salué «les efforts de compétitivité
consentis par l’aéroport», soulignant que «Ryanair n’a bénéficié
d’aucune aide publique, ni d’aucun dispositif discriminatoire
particulier».
Avec 1,08 million de passagers en 2011, l’aéroport
strasbourgeois se place au douzième rang des aéroports de province en
France.
http://www.dna.fr/actualite/2012/11/28/ryanair-revient-a-l-aeroport-de-strasbourg-entzheim

Michael O'Leary said Ryanair is in the market for about 200 new planes as the low-cost airline's fleet is poised to reach 300 Boeing 737-800 jets later this year.
Ryanair is in talks with Boeing, he added during a press conference in Oslo.
"Boeing
have plenty of availability in the order book," Mr O'leary said. "We
are in the fairly early stages of talks to see if we can reach an
agreement on price."
Mr O'Leary said that Ryanair is looking for
deliveries in 2015, 2016 and 2017 – the year that Boeing's upgraded 737
Max jetliner is due to enter service.

Et qq piques pour Easy Jet au passage ... pas les mêmes Aeroports, ni les mêmes prix ... et ça se comprend !

Normal aussi , la manutention "Soute" entre A320 et B737 n'est pas la même, aéroports low cost, bien obligés qq part !

La compagnie aérienne low cost Ryanair affirme avoir payé le même prix qu’en 2005 pour sa dernière commande de 175 Boeing 737-800.

Certains détails de la commande annoncée le 19 mars 2013 par la spécialiste irlandaise du vol pas cher ont été révélés dans des documents transmis aux actionnaires et aux autorités boursières lundi dernier. Ryanair y explique avoir obtenu de la part de Boeing « certaines concessions sur les prix », la facture finale étant « similaire à celle du contrat signé en 2005 », qui portait déjà sur 175 monocouloirs – certains analystes estimant alors que la low cost avait payé environ 50% du prix officiel. Le prix catalogue du 737-800 est de 78 millions de dollars, auxquels il faut ajouter 2,9 millions pour les aménagements spécifiques à chaque compagnie selon le Irish Independent.

Ryanair doit faire approuver par ses actionnaires la nouvelle commande, chose qui ne devrait pas être trop difficile, le chairman David Bondeman expliquant que cette acquisition augmentera « substantiellement » les revenus de la compagnie grâce à la hausse du nombre de passagers. Rappelons que la low cost vise les 120 millions de voyageurs par an d’ici 2022 (100 en 2019, contre 79,6 en 2012), avec une flotte portée à plus de 400 appareils : 75 des nouveaux 737-800 serviront en effet à remplacer les plus anciens des 305 Boeing en service dans sa flotte, le reste servant à soutenir « une croissance de 5% par an ».

Les 175 avions commandés seront livrés au rythme suivant selon Ryanair : onze d’ici mars 2015, puis 35, 50, encore 50 et les derniers 29 chaque année jusqu’à mars 2019. Seule mention pour les 737 MAX lors de la commande: Ryanair continue d’en « évaluer les avantages, avant son entrée en service en 2017 ».

http://www.air-journal.fr/2013-05-30-ryanair-les-175-boeing-acquis-aux-prix-de-2005-575048.html

A Ryanair team evaluating the Max model is due to report back to Boeing and the airline’s management by the end of September, the executive said. The Irish carrier was looking to seal terms on a Max order by the end of this year after concluding a deal for 175 current-model 737-800s at the Paris Air Show in June. The combined purchases could swell the fleet to more than 500 airplanes from just over 300 today.

“A lot depends on what Boeing wants to do,” O’Leary said. “If Boeing wants an order before the end of the year then one will get done. If they don’t want or need an order before the end of the year, then it might not.”

While Ryanair now has “more clarity” on the potential fuel savings of the Max, the weight of the jet remains a concern, O’Leary said.