AIRBUS A400 M

Le Gvt Indonésien n'a pas vraiment mis les moyens, ni appelé les secours à l'Int'l ...
C'est le coeur du PB.

https://www.channelnewsasia.com/news/asia/indonesia-earthquake-tsunami-palu-sulawesi-foreign-aid-10810912

Oui... c'est étonnant

Il va falloir recompter les sous :

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/a400m-guerre-de-tranchees-entre-airbus-et-les-etats-clients-795617.html#xtor=AL-13

En tenant compte de la baisse de la cadence à 8/an

après la validation du ravitaillement de Rafale par l'A400M,
les EF

https://www.avionslegendaires.net/2018/11/actu/les-eurofighter-typhoon-espagnols-desormais-aptes-a-etre-ravitailles-sur-a400m-atlas/

Tiens, la RAF à l'exercice depuis Brize Norton !

23 Tonnes, et à peu prés autant de palettes, larguées par parachute à basse altitude (Moins de 1000 Feet ), en qq secondes, par un A400M !
A défaut de parachutistes 

Impressionnant quand même.

Et je me demandes comment ils poussent tout ça dehors si vite, en tout cas pas à la main, alors, une ressource (C'est dangereux), ou une aide mécanique bien étudiée.
C'est beaucoup de poids sur l'AR à un moment donné.

https://www.airforce-technology.com/news/a400m-atlas-airdrops-load/

ils se servent probablement du pont roulant intégré, non ?
Avec un dispositif (astucieux ?) pour faire basculer chaque palette

Un largage en peut être une dizaine de  secondes .... C'est trés groupé ... une mise en pente de l'avion, possible, mais contrôler tout ça ... sans décentrer trop violemment l'avion ...

Beochien a écrit:Un largage en peut être une dizaine de  secondes .... C'est trés groupé ... une mise en pente de l'avion, possible, mais contrôler tout ça ... sans décentrer trop violemment l'avion ...

Oui ils le font par gravite. L'avion se mettant le cul vers le bas.

J'imagines une régulation électro mécanique (Ou manuelle du cargo master) des containers, au niveau du rail de largage, pour en plus, ne pas tout balancer en vrac ... les parachutes qui s’emmêlent , on a vu passer 

Oui, l'échelonnement des colis semble très régulier et deux par deux.

Oui Jean, pas une benne basculante ...
Et pas non plus le rail de manutention, trop lent ..;
Alors, ils ont inventé qq chose pour séquencer le largage   

http://rpdefense.over-blog.com/tag/armee%20de%20l'air/36

Apparemment, c' est par simple gravité, l' assiette de largage suffisant, avec un plein partiel et maximum de 70% environ.
Avec 2 palettes en moins à cause d' une longueur de soute légèrement plus courte, le C130J-30 peut partir avec le plein complet.
Comme sur l' Hercules, les palettes glissent guidées par 2 X 2 rails.

Ah ben je suis content d'être passé sur ce fil...

Moi je suis plutôt pain blanc que pain complet
Mais c'est vrai qu'avec l'age, je me convertirai peut être

Accessoirement, le lien pointe vers quoi ?

Il faut faire défiler les articles pour tomber sur ce largage de A400M

J'ai la soute un peu courte...

Et la mémoire aussi

2014...

Bonjour
A400M ravitaillant au sol un Tigre

#fildefense

Le 29 novembre 2018, un A400M de l'@Armee_de_lair

Poncho (Admin) a écrit:Bonjour
A400M ravitaillant au sol un Tigre

#fildefense

Le 29 novembre 2018, un A400M de l'@Armee_de_lair

Cela mérite un commentaire.

Dans la notion de support d'une opération, il n'y a pas que le ravitaillement en vol d'avions ou d'hélicoptères qu'il faut prendre en compte.

En zone désertique, avec les IED (engins explosifs) le support terrestre s'avère inadapté a la nécessaire agilité et discrétion de "l'opération".

Par son antériorité et l'expérience, le C130 a vécu les nécessaires adaptations aux guerres "dissymétriques". Un mode dit "hôtel" a été développé et appliqué par les USA sur le C130J.

Cela consiste a pouvoir ravitailler au sol simultanément plusieurs véhicules et hélicoptères après s'être posé en zone non préparée au plus près du trajet de l'opération.

Pour ce faire, durant l'avitaillement, les turbines restent en marche avec les hélices en pas neutre pour éviter de soulever trop de poussières. Les turbines en marche fournissent l'énergie pour pousser le carburants vers les "ravitaillés".

Pendant le temps du ravitaillement carburant, le ravitaillement alimentaire et en munitions vient en complément. Eventuellement une relève en combattants peut venir compenser des blessés a évacuer, et tout ça avec un seul avion.

Il reste a préciser pour l'exemple que sur une telle opération, le carburant avion, hélicoptère et véhicule reste le même, simplement un additif ultérieur est prévu pour les moteurs diesels.

Bien entendu, la durée du "ravitaillement" doit être la plus courte et plus discrète possible.

Très interessant, Audac.
Je n’interviens que très rarement sur ce fil, que je lis, ce qui me pousse à une question :
Pourquoi garder les moteurs en route puisqu’il y a un APU qui, je le suppose, doit être dimensionné à l’avion (poussières, bruit, consommation, ...)

The A400M APU, mounted in an upper wing fairing, will provide pneumatic power for starting the main engines and will also provide electric and pneumatic power for operation of aircraft systems and air conditioning when the engines are not running.

Pas facile de travailler et de communiquer à proximité d’un quadriturbo pro moteurs tournants, notamment de nuit ...


Merci

Bonne question Eolien !

Pour pouvoir re-décoller dans la minute ? Si ça se complique 
Bon, c'est une techno qui date des C-130, largement employés pendant des décennies, comme station service des marines.
Par contre pour l'essence** (Gasoline) Il faut peut être un réservoir dédié ... 
**Pas trop d'usage de l'essence dans l'Armée Française, mais chez les autres ...

Et avec l'ami EM, on ne sait plus trop ou l'on va, le Gas-oil et le Kéro, bientôt bannis de l'Armée ... Pour sauver la planète, alors que 80% de la population mondiale croît et s'en fout ... 
Toujours Mère Thérésa, de préférence sur notre dos ...en France 

Un bulletin écolo ça n’a pas de prix !...  ...

Mise en route précipitée :
- combien de moteurs pour rouler .’ 2 ?
- de nuit, entre éclairages plus ou moins aveuglants et vacarme de 4 moteurs, même hélices bien positionnées entre moindre souffle et moindre bruit, pas facile de bosser et de communiquer.
- le danger des hélices...

Alors, l’APU sous dimensionné ?
Où comme le suggère Beochien, minimiser le temps est le facteur premier, quite à assumer les problèmes induits.

eolien a écrit:Un bulletin écolo ça n’a pas de prix !...  ...

Mise en route précipitée :
- combien de moteurs pour rouler .’ 2 ?
- de nuit, entre éclairages plus ou moins aveuglants et vacarme de 4 moteurs, même hélices bien positionnées entre moindre souffle et moindre bruit, pas facile de bosser et de communiquer.
- le danger des hélices...

Alors, l’APU sous dimensionné ?
Où comme le suggère Beochien, minimiser le temps est le facteur premier, quite à assumer les problèmes induits.

Je parle du mode "hôtel" sur C130J.
Le genre d'opération dont je parle ne dure que quelques minutes.
Tout est soigneusement synchronisé et organisé pour éviter les "accidents".

Si des essais commencent au sol entre un A400M et un Tigre, c'est probablement pour tester une solution technique en vue de mettre au point une procédure du genre mode "hôtel", 
d'autant que sur piste sommaire l'A400M est bien meilleur que le C130J. De même, le volume de carburant délivrable doit être plus important et une vitesse de transition bien meilleure
 pour une couverture de zone améliorée. Ce serait plutôt pour "après demain", "demain" nous aurons les C130J.

Il n'y a pas d'essence en jeux : un seul carburant pour tout ce qui bouge.

Donc, à suivre. Merci !

Le C130J étant récent en flotte, je ne suis pas sûr que ça lui permette de devancer l'A400M qui commence quand même a être rodé...

http://www.opex360.com/2009/03/04/apres-londres-berlin-songerait-a-abandonner-la400m/