Auriez-vous des infos sur ces accès aux moteurs en vol, mais encore plus ancien ...
Et sur le travail des mécano-nav : complément d'huile, changement de bougies (en supposant l'arrêt du moteur ..., autres choses encore ?...)
eolien a écrit:Je faisais allusion à plus vieux, disons années 1935 ... les premiers grands paquebots volants ... ou encore plus vieux.
J'avais lu qu'un mécano était allé sur l'aile pour dégivrer à coup de marteau les ailes, je n'ose dire le carburateur ... (sur un biplan quadrimoteur, les moteurs en push-pull !)
Poncho (Admin) a écrit:Il me semble qu'il doit y avoir d'autres avions. D'autres bombardiers WW2, mais je ne me souviens
Sacrée bête le B36 !
Quant au C74 c'est une découverte !
Beochien a écrit:Superbe !
Je connaissais l’existence, mais c'est la première foi que le vois cette mécanique d'enfer à nu !
Faut pas trop s'étonner des pannes fréquentes !
Ce serait intéressant de voir un jour les Sleeve Valves de l'Hercules ! lui, au moins n'avait plus de soupapes !
Beochien a écrit:Il n'y a que les Anglais pour faire ça avec des moteurs pareils ...!
Bien que ce soit une invention Américaine !
Fallait pas attaquer un démontage .... n'importe où !
Il était très fiable sur les Nord 2502 ... peut être moins au début ...
The Hercules powered a number of aircraft including Bristol's own Beaufighter heavy fighter design although it was more commonly used on bombers. The Hercules also saw use in civilian designs, culminating in the 735 and 737 engines for such as the Handley Page Hastings C1 and C3 and Bristol Freighter. The design was also licensed for production in France by SNECMA. Except for the 2000 hp-range versions in the 1950s until there were lubricating oil improvements, it was considered to be one of the more reliable aircraft engines of the era.
J'ai un doute pour la 100LL.Aviator a écrit:Merci Foussa pour cette belle photo du N2502...
Pour l'UAT je pense que les 2 Marborés servaient uniquement d'assistance au décollage car l'avion était exploité qu'en pays chaud où l'ISA+30 n'est pas rare. Et en ISA+30 le Noratlas n'était pas un foudre de guerre........L'aéronavale en possédait un aussi ( à St Raphaêl ) et ça devait être aussi une assistance au décollage vue la petite piste de St Raph. (1000 ou 1100 m si mes souvenirs sont bons). Pour l'anecdote c'est à St Raph qu'un N2501 de l'armée de l'air a fini un atterrissage avec une poutre qui traînait par terre ( fatigue du mértal ) lors d'une journée de largage paras.
Il me semble que pour le N2502 Aéronavale les réservoirs C ( il y avait A,B et C dans chaque aile ) étaient remplis au kéro et dédiés aux 2 Marborés. Est ce que Béochien peut confirmer ???
A propos de la fiabilté du moteur Hercules , oui en général ils étaient trés fiables. Ceux des N2501 allemands un peu plus car ils avaient gardé l'allumage haute tension d'orgine alors que les français avaient monté un allumage basse tension ; d'où de nombreux problèmes d'allumage.
Le gros avantage du Hercules résidait dans son carbu qui ne pouvait pas givrer (carburateur Hobson à injection donc sans Venturi + papillon des gaz traversé par l'huile chaude du moteur ).
La cascade de pignons entraînant les chemises louvoyantes et ce système de chemises consommaient pas mal d'huile pour la lubrification. Une conso d'huile devenait "anormale" à partit de 13L/H. Chaque moteur avait donc un réservoir de 155 L d'huile ce qui correspondait à l'autonomie carburant, soit 11 H.
En Afrique il était d'usage de mettre de la 100 LL dans les réservoirs C pour les phases de décollage ou atterrissage; ce qui évitait les phénomènes de "vapor lock" et les mises en drapeau automatiques intempestives. Les autres réservoirs étaient remplis de 100/130 ou 115/145 et utilsés hors décollage/atterrissage.
Poncho (Admin) a écrit:Tiens je n'aurais pas cru que l'alimentation de ces moteurs se seraient faite en essence au plomb
Je pensais a un circuit dédié pour le kero.
Le Neptune dispose d'un tel binôme aussi
Ah oui ces vieux bi-poutres ! Des buldozers à cunimbs !Poncho (Admin) a écrit:Du coup avec un circuit de carburant unique, je comprends mieux l'intérêt de ces constructions hybrides.
Ces bi-poutres sont sympa