eolien a écrit:Bla .. bla ... comme d'hab dès qu'il s'agit de vous sortir le cul des ronces ! (c'est comme cela que l'on parle dans mon milieu ... )
Amalgamer sur ce forum aviation le premier ministre britannique dans une liste de dictateurs sanguinaires notoires est stupide, grossier, insultant, lamentable.
Vous pouvez maintenant sortir vos bla .. bla ... habituels.
à mes "bla bla", préférez vous les propos de Boris Johnson, qui choquent beaucoup, au Royaume Uni,
même dans sa famille...
même Jacob Rees-Mogg, fervent eurosceptique
...
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/ecoeurants-hautement-condamnables-les-propos-de-johnson-sous-le-feu-des-critiques_2099847.html
Le Premier ministre britannique a provoqué un véritable tollé mercredi à la Chambre des Communes, en tentant un "hommage" provocateur à la députée assassinée Jo Cox.
Les déclarations de Boris Johnson passent mal. Mercredi, au cours d'une rentrée très tendue à la Chambre des Communes, le Premier ministre britannique a tenu des propos incendiaires, qui ont particulièrement choqué certains députés. Ce dernier a en effet choisir de rendre un "hommage" extrêmement provocateur à Jo Cox, une députée travailliste anti-Brexit assassinée à quelques jours du référendum de juin 2016 par un sympathisant néo-nazi, dans le Yorkshire.
Alors que la successeure de Jo Cox demandait à Boris Johnson de "modérer son langage" pour ne pas enflammer les passions et "que nous puissions tous nous sentir en sécurité", ce dernier a rétorqué : "La meilleure façon d'honorer la mémoire de Jo Cox est en réalité de rassembler ce pays en mettant en oeuvre le Brexit !".
Des propos "écoeurants"
Ces propos ont provoqué un flot de critiques, y compris dans la famille de Boris Johnson. Sa propre soeur, Rachel Johnson a qualifié ces déclarations de "hautement condamnables"."Mon frère utilise des mots comme 'reddition' et 'capitulation', comme si les gens se trouvant en travers de la volonté sacrée du peuple [...] devraient être pendus, noyés, écartelés, goudronnés et recouverts de plumes", a ironisé Rachel Johnson sur la chaîne de télévision Sky News.
LIRE AUSSI >> La presse britannique rend hommage à Jo Cox : "Elle croyait à un monde meilleur"
Cette journaliste opposée au Brexit n'est pas la seule à avoir été choquée par les propos du Premier ministre : l'époux de la députée assassinée a appelé jeudi à la radio BBC à "ne pas créer de la haine". "Ce n'est pas juste un débat. Cela a des conséquences dans le monde réel", a-t-il souligné. La cheffe du Parti libéral-démocrate (centriste) Jo Swinson, a dénoncé des propos "écoeurants", alors qu'elle révélait avoir dû signaler elle-même à la police des menaces contre son enfant.
"Je sais que le Premier ministre est conscient (...) des menaces que trop d'entre nous recevons parce que j'ai récemment partagé avec lui les menaces que je reçois", a réagi sur Twitter Nicky Morgan, la ministre conservatrice de la Culture. "Mais en cette période de fortes émotions, nous devons tous nous rappeler de l'effet de ce que nous disons sur ceux qui nous regardent", a-t-elle plaidé.
Même Jacob Rees-Mogg, fervent eurosceptique, dont l'attitude provocatrice au Parlement a déjà suscité l'indignation de l'opposition, a appelé à davantage de modération. Tout le monde "a la responsabilité de faire preuve de mesure dans notre langage lorsque nous nous exprimons dans la Chambre ou à l'extérieur", a-t-il déclaré.
Des réactions à l'international
Les piques de Boris Johnson ont fait réagir jusqu'à Bruxelles. Dans une intervention exceptionnelle sur les affaires intérieures du Royaume-Uni, le commissaire européen britannique Julian King a fustigé des propos "grossiers et dangereux". "Si vous pensez que le langage extrême ne nourrit pas la violence politique en Europe, y compris au Royaume-Uni, alors vous ne faites pas attention", a-t-il observé sur Twitter.Sur le terrain diplomatique, Michel Barnier, négociateur de l'UE sur le Brexit, a dit jeudi matin "toujours attendre" toute proposition "légale et opérationnelle" de Londres pour parvenir à un accord. Boris Johnson a refusé de s'excuser, jeudi, pour ses propos tenus la veille.
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https://www.levif.be/actualite/international/a-un-mois-du-brexit-tensions-et-divisions-a-leur-comble-au-royaume-uni/article-news-1196191.html
A un peu moins d'un mois du Brexit, les tensions sont à leur comble au Royaume-Uni
et des élections anticipées risquent de se tenir dans une ambiance plus délétère que jamais, comme en témoignent des échanges particulièrement agressifs au Parlement cette semaine.
Le Premier ministre Boris Johnson a été vilipendé, y compris par sa propre soeur Rachel, pour des propos incendiaires à la Chambre des Communes mercredi.
Il avait accusé les membres de l'opposition de "sabotage", de "trahison" et de "capitulation" face à l'Union européenne. "Ce Parlement agit par pur égoïsme et lâcheté politique, les députés de l'opposition ne veulent pas s'effacer et laisser le peuple se prononcer", avait-il lancé, usant d'une rhétorique populiste assumée.
Appelé à "modérer son langage" par la successeure de Jo Cox, une députée travailliste anti-Brexit assassinée à quelques jours du référendum de juin 2016, Boris Johnson a choqué les députés en affirmant que "la meilleure façon d'honorer la mémoire de Jo Cox est en réalité de rassembler ce pays en mettant en oeuvre le Brexit!"
Réfutant toute responsabilité dans la montée des tensions, M. Johnson a aussi qualifié de "foutaises" le témoignage de la députée travailliste Paula Sherriff, qui dénonçait ses propos "incendiaires" et disait avoir reçu des menaces de mort.
Jeudi, il a néanmoins appelé les "esprits à se calmer", tout en refusant de s'excuser.
L'Eglise appelle au calme
Pour le président de la Chambre des communes John Bercow, c'est la "pire atmosphère" jamais vue au Parlement "en 22 ans".
Même l'Eglise d'Angleterre s'en est mêlée, les 118 évêques et archevêques anglicans condamnant un langage "inacceptable".
Mais loin de jouer les conciliateurs, Dominic Cummings, conseiller spécial de Boris Johnson et grand artisan de la victoire du "Leave" lors du référendum, a remis de l'huile sur le feu jeudi soir.
A l'occasion du lancement d'un livre à Londres, M. Cummings a déclaré qu'il n'était "pas surpris que certaines personnes soient furieuses" que le Brexit ne soit toujours pas mis en oeuvre, trouvant "très bizarre" que les députés se plaignent des réactions de colère, preuve selon lui, qu'ils sont "déconnectés" du peuple.
Pour le camp pro-Leave, le plus grand danger serait de renoncer au Brexit.
Un ministre, resté anonyme, a déclaré au quotidien The Times que si un second référendum sur le Brexit était organisé et renversait le résultat du premier, le pays risquait un "violent soulèvement populaire", du type du mouvement des Gilets jaunes en France.
Dans les deux camps, les députés et leurs entourages disent craindre, eux, un nouveau drame similaire à l'assassinat de Jo Cox.
Ellie Cooper, fille de la députée travailliste Yvette Cooper, a confié sur Twitter son "effroi" lorsqu'elle lit les commentaires sur les réseaux sociaux traitant sa mère de "menteuse" et de "traîtresse". La jeune femme a aussi expliqué que sa maison avait été équipée de "panic buttons" (boutons d'alarme) et de portes blindées.
Evoquant l'assassinat de Jo Cox, elle a dit "craindre chaque jour que la même chose arrive à (sa) mère".
"Langage "passionnel"
Une députée travailliste, Jess Phillips, a elle révélé jeudi qu'un homme avait été arrêté en essayant de fracturer la porte de sa permanence dans la circonscription de Birmingham Yardley (centre de l'Angleterre), aux cris de "fasciste".
Tandis que des élections anticipées pourraient être organisées prochainement, Boris Johnson espérant ainsi se redonner une majorité au Parlement et l'opposition s'y préparant, l'atmosphère d'une future campagne s'annonce d'ores et déjà électrique.
"Pour séduire davantage l'électorat, le gouvernement semble déterminé à attiser les antagonismes en utilisant un langage extrêmement passionnel qui ne peut que susciter la peur et la colère et alimenter les griefs contre le Parlement et la loi", a dénoncé jeudi soir l'ex-Premier ministre conservateur John Major, anti-Brexit. Adversaire déclaré de Boris Johnson, il s'exprimait devant le centre de réflexion Center for European Reform (CER).
"Tant que nous n'avons pas résolu la question du Brexit, des élections ne résoudront rien", a estimé M. Major. "Cela ne ferait que nourrir le sentiment actuel de désillusion et de désunion. Loin de guérir la nation, cela attiserait des blessures ouvertes".
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... ou préférez vous les attouchements ??
https://www.levif.be/actualite/international/boris-johnson-accuse-d-attouchement-parfum-de-scandale-au-congres-des-tories/article-news-1197117.html?cookie_check=1569850929
Le Premier ministre britannique Boris Johnson, champion du Brexit, est aussi connu pour ses amours tumultueuses, mais la dénonciation d'une journaliste qui l'accuse d'avoir caressé avec insistance sa cuisse éclabousse d'un parfum de scandale le congrès du parti conservateur dont il est la star.
Journaliste bien établie dans la place londonienne, Charlotte Edwardes a raconté que l'incident avait eu lieu lors d'un déjeuner dans les bureaux du magazine conservateur The Spectator, à Londres, peu de temps après que Boris Johnson en soit devenu le rédacteur en chef en 1999.
"Sous la table, je sens la main de Johnson sur ma cuisse. Il la serre. Sa main est en haut de ma jambe et il a assez de chair sous ses doigts pour que je me redresse soudainement", a-t-elle décrit dans un article publié dans le Sunday Times à l'occasion des deux ans du mouvement #MeToo, qui avait libéré la parole de femmes victimes de harcèlement ou d'agressions sexuelles. Une autre jeune femme assise aux côtés de Boris Johnson lors de ce déjeuner arrosé a subi la même chose, selon elle.
... "Je n'approuve pas mais ce ne sont pas nos affaires, c'est sa vie privée", confie à l'AFP Margaret Dane, une retraitée qui arpente le hall du centre de conférence. "Je vais tout simplement devoir faire abstraction du fait que cela puisse être vrai", poursuit-elle à propos des accusations de harcèlement sexuel, parce que "nous avons besoin de quelqu'un comme Boris" pour mener à bien le Brexit.
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sur le site du Figaro, une vidéo,
où Johnson botte en touche et dit que "je pense que ce que les gens veulent entendre est ce que nous faisons pour eux et pour le pays"
Hum...'Ah oui, et que faites vous vraiment, puisque le négociateur en chef dit n'avoir rien reçu de concret et sérieux de votre part !"
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/downing-street-nie-une-accusation-d-attouchement-visant-boris-johnson-20190930
Dernière édition par Laurent Simon le Lun 30 Sep 2019 - 18:48, édité 2 fois