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Bonne journée à tous
PARIS, 8 juillet (Reuters) - EADS a annoncé mercredi que sa filiale Airbus avait: * Remporté 90 commandes brutes à fin juin, * Remporté 68 commandes nettes à fin juin, * Livré 254 appareils à fin juin. http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=8f57be38bfff0c0c161712b061f091d4 |
http://www.investir.fr/cours-actions-cotation/FR/ISI/cours-EADS-NL0000235190-EAD/infos-conseils/114028/EADS:Airbus_pourrait_reduire_sa_production_en_2010.html(investir.fr) L’avionneur Airbus, filiale du groupe d’aéronautique et de défense européen EADS, pourrait devoir réduire sa production en 2010 du fait de la détérioration des finances des compagnies aériennes, a expliqué dans une interview au Wall Street Journal le PDG Tom Enders .
Cette information vient nuancer l’optimisme de John Leahy, le directeur commercial du constructeur du groupe, selon qui le secteur de l'aviation commerciale est en bonne voie pour une reprise complète en 2011.
John Leahy s'exprimait lors d'une présentation sur les perspectives de l'aviation commerciale jusqu'en 2028. Airbus et son concurrent américain Boeing devraient livrer en moyenne 1.200 appareils par an sur cette période. Soit un total de livraisons de 25.000 avions, d'une valeur totale de 3.100 milliards de dollars, en 19 ans.
http://french.china.org.cn/business/txt/2009-09/27/content_18613353.htmAirbus va renforcer la coopération avec l'industrie aéronautique chinoise
Airbus va élargir et approfondir la coopération avec l'industrie aéronautique chinoise, a déclaré Laurence Barron, président d'Airbus Chine samedi.
Barron a fait ces remarques lors de l'Exposition internationale de l'aviation de Beijing qui s'est terminée samedi 26 septembre. Il a dit: "Airbus va en outre assurer la coopération avec les entreprises d'avions chinois dans de nombreux aspects, avec notamment R & D, l'installation et l'achat de matières premières et les pièces de rechange."
Airbus estime que la valeur de ses projets dans la joint-venture en Chine pourrait atteindre 200 millions de dollars en 2010 et 450 millions de dollars en 2015, a dit Barron.
En 2008, Airbus a acheté 105 millions de dollars de produits en Chine et projette d'en acheter encore plus dans l'avenir. Plus de la moitié des avions Airbus 5800 en service dans le monde entier sont fabriqués avec des composantes chinoises, a ajouté Barron.
Il a ajouté que Airbus a optimisé ses avions de série A320 pour faire face à la concurrence croissante, notamment de la part de l'avion chinois qui sera mis sur le marché bientôt.
Commercial Aircraft Corp of China prévoit de mettre son C919 avec 168 sièges sur le marché en 2016.
En étant pionnier dans la coopération sino-européenne en matière de l'industrie aéronautique, Airbus est partenaire d'AVIC Harbin Aircraft Industry Co. Ltd et d'AVIC Xi'an Aircraft Industry Co. Ltd et possède une usine d'assemblage général à Tianjin, au nord de la Chine.
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-10-08/airbus-interpelle-de-nouveau-les-autorites-monetaires-sur-l-euro/916/0/384125Airbus interpelle de nouveau les autorités monétaires sur l'euro
Airbus répète que le renforcement de l'euro contre le dollar constitue une grande difficulté pour les industriels basés en Europe et appelle les autorités monétaires à "veiller à la stabilité des taux de change".
Le directeur général du constructeur aéronautique, principale filiale du géant européen EADS, a toutefois déclaré à Reuters qu'Airbus ne préparait pas de nouvelles mesures d'adaptation à ce stade.
"Je confirme qu'à ces niveaux-là (l'euro a progressé de près de 20% depuis début février, ndlr), la situation devient très difficile pour l'ensemble des industriels qui ont des coûts en euros. Et nous ne pouvons que plaider pour que les autorités monétaires veillent à une stabilité des taux de changes", a-t-il dit au cours d'un petit-déjeuner de presse organisé par l'Association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE).
Ces propos font écho à ceux du président exécutif d'EADS, Louis Gallois, qui avait déclaré le 28 septembre que l'euro approchait de "la limite" supportable pour l'entreprise.
POWER 8 ETAIT CALÉ SUR UN EURO À 1,35 DOLLAR
Dans le communiqué final de sa dernière réunion le 3 octobre, le groupe des sept pays les plus industrialisés de la planète a pour sa part souligné que l'instabilité des monnaies risquait de déstabiliser l'économie mondiale sans pour autant dévoiler de mesures concrètes.
Pour faire face au raffermissement de l'euro, et alors que les ventes d'Airbus sont libellées en dollars, EADS a annoncé fin 2006 le lancement du programme "Power 8", destiné à permettre à Airbus d'économiser 2,1 milliards d'euros par an à partir de fin 2010. Calé sur un euro à 1,35 dollar, il passera par la suppression de 10.000 postes.
Le plan complémentaire "Power 8+", établi sur la base d'un euro à 1,45 dollar et élargi à EADS, vise de son côté un milliard d'euros d'économies annuelles supplémentaires à compter de fin 2012.
Un troisième plan, baptisé "Future EADS", principalement orienté sur une amélioration de l'intégration des divisions, devrait permettre de générer 200 millions au minimum à la même échéance.
Interrogé sur d'éventuelles nouvelles mesures, Fabrice Brégier a répondu à Reuters "qu'au niveau d'Airbus, la réponse est clairement non".
LIVRER 13 A380 EN 2009
L'euro s'échangeait autour de 1,4765 dollar jeudi vers 13h15. L'action EADS gagnait au même moment 0,34% à 14,92 euros à la Bourse de Paris.
"On ne peut que se féliciter d'avoir lancé 'Power 8' fin 2006 et on ne peut que se féliciter d'avoir étendu 'Power 8' à travers quelques mesures supplémentaires avec 'Power 8+' et 'Future EADS' pour avoir un groupe qui puisse résister à des taux de changes qui sont à peu près ceux qu'on voit actuellement", a expliqué Fabrice Brégier.
Le dirigeant a par ailleurs indiqué qu'il espérait voir Airbus livrer 13 exemplaires du gros porteur A380 cette année. L'entreprise a une nouvelle fois diminué son objectif de 14 à 13 appareils le 29 septembre.
BOMBAY, 12 octobre (Reuters) - Airbus < EADS> va transférer quelque 20% des activités ingénierie et design en
Inde et dans d'autres pays à coûts peu élevés, a déclaré un responsable
du constructeur aéronautique européen, cité lundi par le journal Mint. "
Il y a une volonté au sommet de faire croître les activités en Inde
sur les trois à quatre prochaines années", a dit Eugen Welte, à la tête
du Airbus Engineering Centre India Pvt. L'externalisation de
certaines tâches en Inde permettrait à Airbus de réduire de 40% ses
coûts liées à celles-ci, poursuit le journal, citant toujours Eugen
Welte. Les effectifs du centre d'ingénierie en Inde passeront de 120 actuellement à 450 l'année prochaine, poursuit Mint.
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=fe1e455124cee73c200ef56b71d5e87a
http://bourse.lci.fr/news.hts?urlAction=news.hts&idnews=AOT091012_00052315&numligne=0&date=091012(AOF) - EADS a démenti une information du quotidien indien Mint selon lesquelles Airbus aurait l'intention de transférer 20% de ses activités d'ingénierie en Inde et dans des pays à bas coûts d'ici 2012. "Cet article est inexact. Le plan 'EADS 2020 Vision' envisage de sous-traiter jusqu'à 20% du travail d'Airbus dans le monde d'ici 2020 mais ce n'est pas nouveau", a déclaré un porte-parole du groupe cité par Reuters. Vision 2020 est un projet sur 12 ans visant à "rééquilibrer" les activités de l'ensemble du groupe.
http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/13/692834-Airbus-Operations-nouveau-president.htmlAirbus Operations : nouveau président
Airbus France n'existe plus. En lieu et place une nouvelle filiale est créée et baptisée Airbus Operations SAS. C'est Patrick Piedrafita, 46 ans qui vient d'en être nommé président. Cet ingénieur des Arts et métiers était jusque là le patron des programmes longs courriers, poste auquel il avait été nommé en 2001. Recruté en 1984 chez Airbus, ses expériences dans la production et la planification usine l'avaient auparavant conduit à diriger la chaîne d'assemblage final de l'A320 à Saint-Martin-du Touch.
Airbus dément un projet d'offre sur ILFC |
PARIS (Reuters) - Le directeur commercial d'Airbus a démenti les informations du quotidien La Tribune selon lequel il envisageait de participer à un projet de reprise du loueur aéronautique ILFC. "Ce n'est absolument pas vrai", a déclaré John Leahy à Reuters lors d'un entretien téléphonique. Il a également démenti le fait qu'un ancien responsable d'Airbus, Jean-Paul Gut, examinait aussi le dossier ILFC, une filiale que l'assureur américain AIG cherche à céder. "Autant que je le sache, il n'est pas du tout impliqué dans un tel projet", a ajouté John Leahy. Le quotidien La Tribune écrivait le même jour que John Leahy et Jean-Paul Gut, ancien directeur général délégué d'EADS, regardaient le dossier avec l'appui de fonds d'investissements qataris. Des sources avaient indiqué de leur côté lundi à Reuters, que AIG était en discussions avec Steven Udvar-Hazy, directeur général d'ILFC, qui s'est associé à un consortium comprenant les fonds Onex Corp et Greenbriar Equity, pour la cession d'une partie de ILFC. John Leahy, qui connaît bien Steven Udvar-Hazy, a déclaré qu'il jugeait correct un tel scénario. "C'est ce que je comprends également", a-t-il dit à propos de ces informations. PAS D'INQUIÉTUDE SUR ILFC Le directeur commercial d'Airbus a déclaré qu'il suivait de près l'évolution du secteur de la location aéronautique mais qu'il n'avait pas d'inquiétude sur la solidité d'ILFC. Il a maintenu son objectif de 300 commandes brutes (avant annulations) en 2009, ce qui nécessiterait de remporter encore plus de 150 commandes d'ici la fin de l'année. Il a souligné que plusieurs accords provisoires étaient encore en discussions, qui pourraient se transformer en commandes fermes. "Je n'ai pas renoncé à mon objectif de 300 commandes brutes", a-t-il dit. John Leahy a déclaré qu'il observait une reprise du trafic aérien mais que le revenu par siège des compagnies restait dégradé. Il a souligné qu'il ne s'attendait pas à une nouvelle vague importante d'annulations de commandes de la part des compagnies aériennes. Le directeur commercial a résisté à la pression de certains analystes et experts, dont Steven Udvar-Hazy d'ILFC, qui encourageaient Airbus à baisser sa production de quelque 30% afin de préserver la valeur des avions. Airbus a précisé lors d'une conférence mercredi qu'il pensait pouvoir maintenir son rythme de production actuel après avoir ramené en octobre celle de ses avions monocouloirs à 34 unités par mois. "Il n'y a actuellement aucun plan (de réduction de production). S'il y avait un risque, il pourrait représenter l'équivalent de moins cinq pourcent, mais d'ici le printemps ce pourrait aussi bien être plus cinq", a observé John Leahy, qui a déclaré par ailleurs qu'il n'avait pas l'intention de démissionner de son poste. "Je n'envisage pas actuellement de quitter Airbus. Je suis très bien ici. Après avoir passé 25 ans chez Airbus, je pense que je suis dans l'obligation de rester pour aider le groupe à passer le cap de la crise". Tim Hepher, avec la contribution de Jean-Michel Bélot, édité par Jean-Michel Bélot et Matthieu Protard http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=ab5da9fb3888377485029c1bcf4ee574 |
La suite sous le lien :Tom Enders : « Mon plan pour Airbus »
Exclusif. Tom Enders, PDG d'Airbus qui vient de livrer le premier A380 à Air France aborde tous les sujets d'actualité.
Dans les usines d'Airbus c'est la course contre la montre. Tout est fait pour que treize A380 soient livrés en 2009. Celui remis à Air France vendredi était le septième. Il en reste donc six à remettre aux clients en seulement huit semaines. Le patron d'Airbus, Tom Enders, est confiant sur la capacité de ses équipes à livrer autant d'avions que l'an dernier (lire ci-dessous) soit 483. De janvier à septembre, 358 avions ont déjà été remis aux clients.
Mais si 2009 se sera bien déroulée malgré la crise mondiale, la partition risque d'être plus difficile à jouer l'an prochain d'autant que le dollar n'en finit pas de baisser. « C'est pour Airbus un vrai problème. Power 8 a été lancé pour nous protéger d'un dollar à 1, 35. Nous sommes presque à 1,50 et il pourrait monter encore au-delà. Une baisse de dix centimes nous fait perdre un milliard d´euros de rentabilité. C'est énorme ! Nous devons par prudence réfléchir à des mesures additionnelles que nous pourrions alors mettre en œuvre pour nous protéger davantage », nous a confié Tom Enders. Le patron est sur tous les fronts. Efficace et adepte de la méthode pragmatique, il s'empare des dossiers pour trouver une solution. Alors que les auditions dans le cadre de l'enquête sur les délits d'initiés auront lieu ce mois-ci, le patron d'Airbus ne bouge pas d'un iota : « J'espère que nous aurons l'occasion de montrer que nous n'avons rien fait de mal en exerçant nos stocks options. Je suis convaincu de l'intégrité de mes collègues », confie-t-il. C'est la façon de faire de celui qu'on appelle « Tom » à Blagnac. Et quand on lui demande quel bilan il tire de ses 27 mois à la tête d'Airbus, encore une fois, le pragmatisme parle : « à l'été 2007, la compagnie était en guerre avec elle-même. Peu pariaient sur la réussite du tandem Tom Enders -Fabrice Brégier alors que ça fonctionne bien. Nous avons donné une nouvelle stratégie à la société, remis sur les rails l'A400 M. Mais ce n'est pas le moment de se laisser aller. »
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Dubai Air Show 2009 : Airbus confirme l'objectif de 300 ventes en 2009 •
publié le 18/11/2009 à 17:17, Martina Fuchs et Tim Hepher (Reuters)
DUBAI, 18 novembre (Reuters) - Airbus compte toujours vendre 300 avions en 2009 et pense pouvoir réaliser son objectif de livraison de l'A350 en 2013, a déclaré mercredi le directeur commercial John Leahy.
Le secteur montre des signes de reprise et, en dépit de la récession, la filiale d'EADS maintient un rythme de production sans précédent de 490 appareils par an, a dit John Leahy à Reuters Television à l'occasion du salon de l'aéronautique de Dubaï.
"L'objectif reste à 300 (...) c'est toujours ce que nous visons; c'est un objectif serré mais je crois que nous allons nous en approcher. Nous en sommes beaucoup plus proches que ce pensent beaucoup de gens", a-t-il expliqué.
Même si le salon de Dubaï ne bruit pas autant d'annonces qu'il y a deux ans, Airbus a quand même fait état d'engagements représentant 5,3 milliards de dollars, qui incluent la commande de deux très gros porteurs A380 de 840 sièges chacun pour Air Austral et celle de six appareils pour Senegal Airlines.
John Leahy a rappelé que le carnet de commandes global de la filiale d'EADS représentait 3.400 avions, ce qui devrait lui permettre de maintenir sa production aux niveaux élevés actuels. Mais il a reconnu que la croissance des commandes resterait ralentie au cours des deux prochaines années.
"Il y a aura probablement deux années supplémentaires d'augmentation faible des commandes mais on va quand même essayer de maintenir des niveaux de production très élevés", a-t-il dit.
Emirates, première compagnie aérienne du monde arabe, a fait savoir, durant le salon, qu'elle discutait avec Airbus et Boeing de l'achat de "dizaines d'appareils", peut-être des 777 et des A330, dans l'anticipation d'une reprise économique mondiale.
Le directeur commercial a souligné que, suivant les circonstances, il était possible qu'Airbus ramène son rythme de production mensuel de 34 à 32 avions.
"Pour le moment, nous avons dit à nos fournisseurs que nous ne bougeons pas de 34 mais nous surveillons de très près l'arrivée de l'hiver parce qu'il sera rude. Une fois l'hiver passé, on pourrait avoir un beau printemps".
John Leahy a dit également que la production de l'A380 était stable, à un appareil par mois, et qu'elle passerait à deux voire trois avions par mois à mesure que l'économie mondiale sortira de la récession.
Il est probable également, a-t-il poursuivi, qu'Airbus atteindra ses objectifs pour l'A350, ayant tiré la leçon de ses erreurs sur la production de l'A380.
"Après avoir traversé l'expérience A380, avoir tiré la conséquence de nos erreurs, observé ce qu'il advient du 787, et faisant notre entrée quatre ans après le 787, nous devrions tous être fusillés pour incompétence crasse si nous sabotions le programme A350; je suis certain qu'on tiendra nos objectifs", a encore déclaré John Leahy.
Il a dit qu'un accord avec United Airlines, la filiale d'UAL, sur des gros porteurs restait possible dans les six mois qui viennent.
"Cela pourrait se faire en deux tranches, d'abord un accord de 20 à 30 gros porteurs puis un autre dans six mois, et peut-être d'autres appareils à la clé", a-t-il énoncé.
Ethiopian Airlines a commandé cette semaine 12 A350 représentant près de trois milliards de dollars. Avec ce contrat, le nombre total de commandes d'appareils de la famille A350 XWB, concurrent direct du 787 Dreamliner de Boeing, devrait dépasser la barre des 500 commandes moins de trois ans après le lancement du programme.
Le président d'Airbus Tom Enders a également dit, durant le salon, qu'il espérait passer un accord avec les acheteurs de l'avion de transport militaire A400M d'ici la fin de l'année, accord portant sur la production et ses coûts afférents. Il a également bon espoir de voir cet avion prendre son vol avant le début de 2010.
(Version française Marc Angrand et Wilfrid Exbrayat)
Emirates Airline takes delivery of Airbus' 6,000th aircraft
18 January 2010
Emirates Airline and Airbus have marked a major achievement, by celebrating the hand-over of the 6,000th aircraft in the airframe manufacturer's 40 year history. The aircraft, an A380, was handed over to Emirates Airline in a ceremony in Hamburg. The aircraft is Emirates' eighth
A380.
Accepting delivery of the new aircraft, Adel Al Redha, Executive Vice President, Emirates' Engineering and Operations, said: "The A380 represents the future of air travel and our strength and determination to drive forward, alongside Airbus, to meet our ambitious expansion plans and traffic demand. If a powerful demonstration of the resilience of the aviation industry was required, today has provided that. All who have flown the A380 will realise that this is a very special aircraft, embracing the latest in passenger comfort, technology and environmental credentials."
"Today's delivery is our 25th A380 so far, and more importantly, the 6,000th Airbus produced in our 40 year history. It is particularly significant that it is both an A380 and for Emirates, as they were involved in its development from early on. We are proud to have the words' Airbus 6,000th Aircraft' inscribed alongside the Emirates livery," said Tom Enders, Airbus CEO.
With a total order for 58 aircraft, Emirates is the single largest customer for the A380. Established in 1985, Emirates became an Airbus operator from the outset. Today, Emirates' Airbus fleet has grown to 55 aircraft with a further 121 on order.
Airbus was formed in 1969, and by 2005 had reached more than 50 per cent of worldwide deliveries in a single year, of all aircraft of more than 100 seats. It also took Airbus some 30 years after its initial creation to bypass its main competitor in terms of sales and remain at around half the market share.
Note to editors:
Airbus delivered its first customer aircraft in May 1974 - an A300B2
The 1,000th aircraft was delivered in March 1993 - an A340-300
The 2,000th was delivered in May 1999 - an A340-300
The 3,000th was delivered in July 2002 - an A320
The 4,000th was delivered in September 2005 - an A330-300
The 5,000th was delivered in December 2007 - an A330-200
A318 $62.5 million
A319 $74.4 million
A320 $81.4 million
A321 $95.5 million
A330-200 $191.4 million
A300-200F $194.8 million
A330-300 $212.4 million
A340-300 $228.0 million
A340-500 $250.8 million
A340-600 $263.8 million
A350-800XWB $225.2 million
A350-900XWB $254.5 million
A350-1000XWB $285.2 million
A380 $346.3 million
Unconfirmed report: EADS courts Lockheed as US partner?
By Stephen Trimble on January 30, 2010 9:54 AM | Permalink | Comments ( | TrackBacks (0) |ShareThis
This potentially inflammatory item appeared yesterday in an English-language newsletter by the aerospace industry intelligence arm of France's ADIT firm:
Are we about to witness one of the most heartbreaking divorces in the aerospace industry? To be followed by a groundbreaking new engagement?
According to an unconfirmed report - I repeat: UN-CON-FIR-MED- from a French industry newsletter, EADS is reviewing radically its strategy in the United States. So far, EADS' presence in America - represented by Ralph Crosby - was based on a somewhat difficult but close relationship with Northrop Grumman. But this era could be over. Disappointed by the poor results of the KC-X air tanker campaign, Tom Enders is now courting.... Lockheed Martin as EADS's partner of choice in the US. The objective of the talks would be to create a strategic transatlantic alliance between the two giants, aimed at opening up each other's markets and rebalancing their respective portfolios. ...
Moreover, according to the (read my lips: unconfirmed) report, EADS could let Lockheed have an industrial share in the civilian A350 program, marking Lockheed's re-entry to the civil aerospace market. And provided Lockheed helps market the A400M in the US alongside the C-130J, the American giant could have better access to the semi-closed European defense market.
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