PhilDur a écrit:Quelqu'un aurait une vue plus précise ?
Oui, plus ça parle, plus ça traine.
PhilDur a écrit:Quelqu'un aurait une vue plus précise ?
India signed an inter-governmental pact on Monday to buy 36 French-built Rafale fighter planes, but the leaders of both countries said there was still work to do to finalise financial terms after months of talks.
Juste un emballage politique pour masquer l'enlisement.Poncho (Admin) a écrit:Bref rien de nouveau ? en réalité
Merci en tout cas
Je croise les doigts une fois de plus !Paul a écrit:Le contrat avec l'Inde devrait être signé le 23 septembre.
Intéressant !massemini a écrit:Apparemment, il y a comme une interdiction de dépasser une cadence de fabrication de 11 rafale par an, en vigueur depuis le début du siècle (un peu moins en fait à cause de la production des 10 premiers Rafale M), dans quel but si non de durer…, mais à quel prix réel?
Nos armées ne recevant plus de Rafale jusqu’ à fin 2019 (sauf changement qui est devenu inutile depuis hier). En conséquence:
-Fin 2017, l’ Egypte est servie, le Qatar peut en avoir 4.
-En 2018, le Qatar en prendra 11.
- Fin 2019, le Qatar reçoit les 9 derniers et l’ Inde ses 2 premiers puisque les livraisons doivent commencer dans 3 ans selon Aviation Week.
-En 2020 et jusqu’ à fin 2024, l’ Inde en prendra 7 par an (puisque les livraisons s’ étalent sur 60 mois), + 4 pour nous, soit 20 de plus sur la période (ou 18 + 2 si la Marine prend réellement les M47 et M48). Nos armées auront donc reçu 144 + 20 = 164 machines sur les 180 programmées (assurées semble-t-il).
Resteront 16 à livrer en 2025/2026.
Soit 22 ans pour en livrer 170 (j’ enlève les 10 premiers M qui rallongeraient la période de 5 ans).
S’ ils sont bons commerçants les Indoux, ils ont bien dû tirer quelque avantage de dernière minute pour nous permettre d’ arriver à 2026 pour enchaîner avec un drone de combat devenu nécessité.
Il fallait absolument placer 84 avions pour faire ce planing. Les 3 pays concernés le savaient….(qu’ ils nous enlevaient une épine du pied).
S’ il se trouve un 4ème client pour ne serait-ce qu’ un escadron de 16, pas trop pressé, on peut leur céder ceux de 2025/2026 car 180 ou 164 pour nos forces ne changent pas grand-chose; planing inchangé…
Cette 'interdiction' est un concept tout à fait inexact.massemini a écrit:Apparemment, il y a comme une interdiction de dépasser une cadence de fabrication de 11 rafale par an, en vigueur depuis le début du siècle (un peu moins en fait à cause de la production des 10 premiers Rafale M)
Merci Paul de la correction,Paul a écrit:le Koweït vient de commander 28 Super Hornet
http://www.usinenouvelle.com/article/la-france-vend-36-rafale-a-l-inde.N441037Philidor a écrit:Cette 'interdiction' est un concept tout à fait inexact.massemini a écrit:Apparemment, il y a comme une interdiction de dépasser une cadence de fabrication de 11 rafale par an, en vigueur depuis le début du siècle (un peu moins en fait à cause de la production des 10 premiers Rafale M)
En réalité, si la volonté de prolonger la durée de vie du programme était bien présente, aussi longtemps que le seul client était la France, la limite annuelle était budgétaire. Le niveau de production annuel dépendait du rythme auquel le client unique pouvait les recevoir. Il a donc fallu arrêter contractuellement, un niveau de production (11 p. an), suffisamment soutenu pour ne pas induire des prix de revient unitaires inacceptables, suffisamment lent pour rester compatible avec les possibilités financières annuelles de la France.
Depuis que des commandes à l'export ont été enregistrées, Dassault peut adapter à la hausse le rythme de production de façon à tenir ses délais et à rechercher une optimisation industrielle, avec une incertitude, le niveau résiduel des commandes annuelles de la France, que l'Etat aura désormais la faculté de fixer à un niveau < 11. Avant de recevoir la commande indienne, Dassault est donc resté prudent dans ses décisions industrielles. Il va à présent accroître sensiblement son rythme de production, dégageant par là de nouveaux créneaux pour de futures ventes.